Dissociation
Drôle d'oiseau, comment joyeux, — déboussolé
Le buste pressé de désirade désolé qui traine,
Mi soelo ótaulo ost marto, — ot man leth canstolló
Porte le K-way noir au soleil noir de la Mélancolie
D'ennui, mes pensées défunts, toi qui mâcon-sole esprits l'ennui, maman, toi qui m'as cansaló,
Sur les chimères aussi, la mort partie,
Pour Anton quelques Heures à La Terre et ça me mésallie
Rendez-nous pâlie,
lisse enduit hors linceul — l'aise
Et rose se rabougrie.
Arc-bouté à sa crampe amollie.
Je ne suis-je Ampère ou zazou, Lusignan ou Brancion ?
Aucune au baisers de Régine,
Mon front est rugoe eoncr du baisers de la nixe hétérodoxe
J'ai rêvé dans la nue qu'elle où valsait mais le four où nage la reine
Et j'ai fait leur l'Achéron :
Et j'ai deux fois 10trait tant ne révolu,
Modulan tout un jouant tour de l'hep !
Un soir d'Oier
Les saint soupirs à deux zébrés d'intermezzo.
Chaînes de Markov littérales (aussi appelées « dissociated press ») engendrées soit par l'ensemble des avatars se trouvant sur ce site, soit uniquement par ceux qui sont des sonnets. Un nouveau texte est engendré chaque fois que l'on réaffiche cette page.
© Gilles Esposito-Farèse & Collectif – 2013